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Tu t’étais promis que ce soir, tu tiendrais.
Pas de chocolat, pas de clope, pas de série jusqu’à minuit.
Tu voulais être fière de toi.

Mais t’as craqué. Encore.

Alors tu te dis que t’es nulle, que t’y arriveras jamais.
Que t’as aucune discipline. Que t’es foutue.

Moi, je vais te dire un truc : ton cerveau fait exactement ce qu’il doit faire.

Il cherche à te protéger.
À te soulager.
À survivre.

Et il est très doué pour ça.

Non, tu n’es pas « addict » par faiblesse.

Tu es « stratège » par instinct.

Ce comportement que tu veux fuir, c’est pas une erreur de parcours.
C’est une réponse.
Une réponse à un trop-plein que t’as jamais su comment gérer.

Un trop-plein d’émotions, de fatigue, de pression.
Un besoin de souffler, de ralentir, de sentir que t’existes. 

💬 “Quand je fume, j’ai l’impression d’avoir une pause à moi.”
💬 “Quand je grignote, je me console.”
💬 “Quand je scrolle, j’oublie que je suis à bout.”

Alors non, c’est pas glorieux. Mais c’est intelligent.
Tu as trouvé une stratégie.
Pas la plus pérenne. Mais la plus accessible.
Et à un moment, elle t’a sauvée.

Et si, au lieu de la fuir ou de la détester, on allait la comprendre ?

Ce n’est pas un problème à éliminer.

C’est un signal à décoder.

Dans mon coaching, je ne te dirai jamais “Faut arrêter”.
On commence toujours par “Qu’est-ce que ça t’apporte ?”.

On va identifier ce que tu cherches vraiment à nourrir derrière ce geste.
Pas la couche visible. Pas le symptôme.
Mais le besoin. L’émotion. La valeur oubliée.

Et ensuite, on crée de nouvelles stratégies, plus alignées.
Pas pour “combattre” l’ancienne.
Mais pour reprendre la main. Doucement. Concrètement.

Tu ne veux pas “arrêter”. Tu veux respirer.

Et c’est possible. Sans forcer. Sans culpabiliser.
Mais pas seul.e. Parce que ce truc-là, c’est rarement un combat qu’on gagne en solo.

🎯 Je t’accompagne à retrouver ton pouvoir.
Pas celui de dire non.
Celui de choisir en conscience.